Il y a encore quelques décennies, chaque village avait sa boulangerie.
On y passait le matin pour une baguette encore tiède, on y croisait les voisins, et on repartait avec bien plus que du pain : un sourire, une parole échangée, un repère du quotidien.

Aujourd’hui, ces boulangeries disparaissent.
Les villages se vident, les distances s’allongent, et les tournées de pain se font plus rares.
Pour beaucoup, retrouver le goût du bon pain devient presque un luxe.

Le goût du pain, sans dépendre d’un fournil

C’est de ce constat qu’est née Ma Baguette : permettre à chacun, où qu’il vive, de retrouver la qualité et le plaisir du pain maison.
Avec un kit simple, pensé par un artisan boulanger, on peut désormais faire chez soi ce que d’autres faisaient au cœur des villages d’autrefois.

Un peu d’eau, un four domestique, quelques gestes — et le pain reprend sa place à table, comme autrefois.
Pas un pain industriel, mais un pain vrai : croustillant, généreux, et porteur d’histoire.

Redonner du lien là où il n’y en a plus

Derrière chaque kit Ma Baguette, il y a une idée simple :
redonner du lien là où il a disparu.
Faire son pain, c’est ralentir, c’est prendre le temps. C’est aussi transmettre : à ses enfants, à ses proches, une part de culture et de patience.

Que l’on vive à la campagne, dans une zone isolée, ou simplement loin d’une bonne boulangerie, le savoir-faire n’a plus besoin de boutique pour exister.
Il peut tenir dans une boîte. Et dans deux mains.

La boulangerie du futur sera peut-être chez soi

Ma Baguette n’oppose pas la modernité à la tradition.
Elle les réconcilie.
Elle prouve qu’avec les bons gestes et les bons ingrédients, chacun peut retrouver ce goût d’enfance, ce rituel français, même sans descendre au village.

Parce que le pain, avant d’être un produit, c’est un lien.
Et ce lien, Ma Baguette le remet entre vos mains.